Pourquoi les thérapeutes suisses ont besoin d’outils suisses

Pourquoi les thérapeutes suisses doivent privilégier des outils locaux, garantissant conformité, sécurité et confiance dans leur pratique. Lisez notre article pour en savoir plus.

Passants marchant en ville dans une ambiance lumineuse
Crédit: @onixion sur Unsplash

Introduction

Le métier de thérapeute évolue, et avec lui, les outils du quotidien : prise de notes, gestion des rendez-vous, confidentialité, documentation, communication… Mais en Suisse, ces outils ne peuvent pas être choisis à la légère.

Le pays possède :

  • une législation stricte (LPD)
  • une culture forte de la confidentialité
  • des exigences élevées en matière de protection des données
  • une approche profondément humaine de la relation thérapeutique

Dans ce contexte, utiliser un outil étranger ou non conforme représente bien plus qu’un simple choix technique : c’est un risque juridique, éthique et clinique.

Voici pourquoi les thérapeutes suisses ont besoin d’outils conçus en Suisse, pour la réalité suisse.

La LPD suisse : une exigence unique au monde

La loi protège les données sensibles… comme les notes thérapeutiques

La LPD (Loi sur la Protection des Données) impose :

  • un hébergement sécurisé
  • une minimisation des traitements externes
  • un contrôle strict des accès
  • une protection renforcée des données de santé

Les notes d’un thérapeute y sont considérées comme des données hautement sensibles.

Les outils étrangers posent problème

Les solutions basées hors de Suisse peuvent :

  • transférer les données à l’étranger
  • être soumises au Cloud Act américain
  • utiliser les données pour entraîner leurs modèles
  • rendre l’utilisateur responsable en cas d’incident

Même si l’outil dit être sécurisé, sa juridiction peut suffire à le rendre incompatible.

Astuce DiagNotes — Avec DiagNotes, vous travaillez en conformité totale avec la LPD et le RGPD. L’hébergement est 100% suisse et vos données ne quittent jamais le territoire — un point essentiel pour votre sécurité juridique.

Héberger en Suisse : un choix de sécurité… mais aussi de confiance

La souveraineté des données

Quand les données restent en Suisse :

  • elles sont protégées par la loi suisse
  • elles ne sont pas soumises à des législations étrangères
  • elles ne risquent pas d’être revendues ou analysées
  • elles sont accessibles uniquement à vous

Une transparence indispensable pour vos patients

Les patients veulent savoir :

  • où vont leurs informations
  • comment elles sont protégées
  • qui y a accès

Pouvoir dire : “Tout est hébergé en Suisse, dans un système conçu pour les thérapeutes” renforce immédiatement la confiance.

Astuce DiagNotes — Grâce à son hébergement souverain, DiagNotes permet aux thérapeutes de rassurer leurs patients dès la première séance. La confidentialité n’est pas un argument marketing : c’est une base éthique.

Comprendre la réalité suisse : un outil doit épouser la culture du soin

Une culture du cadre et de la précision

Le soin en Suisse repose sur :

  • un cadre clair
  • une écoute profonde
  • une approche méthodique
  • une présence stable

Les outils doivent respecter ce niveau d’exigence.

Une relation thérapeutique fondée sur la discrétion

Ici, la discrétion n’est pas ambiguë : elle est culturelle, attendue, valorisée.

Un outil doit protéger cette dimension, pas la fragiliser.

Une pratique professionnelle très diversifiée

La Suisse regroupe :

  • des thérapeutes complémentaires
  • des psychologues
  • des ostéopathes
  • des praticiens holistiques
  • des approches multiples reconnues par ASCA / RME

Un outil efficace doit comprendre cette diversité.

Astuce DiagNotes — Conçu par des thérapeutes suisses, DiagNotes respecte la culture locale : précision clinique, neutralité, stabilité et confidentialité font partie de son ADN.

Pourquoi les outils étrangers ne suffisent pas

Problème n°1 : la juridiction

Même un outil conforme peut néanmoins être soumis à :

  • la fiscalité
  • les lois d’accès aux données
  • les obligations de divulgation

Cela suffit à invalider la confidentialité thérapeutique.

Problème n°2 : l’utilisation des données

Beaucoup d’outils étrangers utilisent les données :

  • pour entraîner leurs IA
  • pour améliorer leurs services
  • pour des modèles statistiques

Ce qui est incompatible avec le secret professionnel.

Problème n°3 : une vision trop généraliste

Les outils étrangers ne comprennent pas :

  • les approches suisses
  • la structure des notes thérapeutiques
  • la diversité des pratiques
  • les exigences des assurances

La thérapie ne peut pas être gérée comme une entreprise classique.

Astuce DiagNotes — Avec DiagNotes, aucune donnée n’est utilisée pour l’entraînement de modèles externes. L’IA clinique se contente d’organiser vos notes — elle ne lit jamais au-delà de ce que vous écrivez.

Un outil suisse, c’est aussi une communauté suisse

Choisir un outil suisse, c’est choisir :

  • un accompagnement local
  • un support réactif et francophone
  • une compréhension de vos réalités
  • une communauté thérapeutique engagée

DiagNotes n’est pas seulement une application. C’est un réseau vivant de thérapeutes qui :

  • se rencontrent
  • échangent
  • participent à des conférences
  • partagent des bonnes pratiques
  • co-construisent les évolutions de l’outil
Astuce DiagNotes — En rejoignant DiagNotes, vous accédez à une communauté suisse active : conférences, rencontres, échanges entre pairs. Un soutien rare pour les thérapeutes indépendants.

Conclusion

Les thérapeutes suisses ont besoin d’outils qui respectent :

  • la loi suisse
  • la culture suisse du soin
  • la confidentialité
  • la souveraineté des données
  • la réalité de leur métier
  • leur besoin de simplicité et de présence

Un outil suisse n’est pas seulement une solution pratique. C’est un partenaire éthique, un garant de votre sécurité professionnelle et un soutien à votre pratique clinique.

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