Pour un thérapeute en Suisse, le choix du logiciel n’est pas un simple choix de confort. C’est un choix éthique, légal, clinique et stratégique. Avec la nouvelle LPD, les exigences de sécurité augmentent, les responsabilités aussi.
Et pourtant, beaucoup de thérapeutes utilisent encore des logiciels étrangers sans vraiment savoir :
- où leurs données sont hébergées,
- qui peut y accéder,
- comment elles sont traitées,
- si elles sont utilisées pour entraîner une IA,
- si elles sont réellement effacées un jour.
Choisir un logiciel suisse, ce n’est pas du patriotisme numérique : c’est une nécessité thérapeutique.
1. La loi suisse impose un cadre strict — et protecteur
La LPD demande que les données de santé soient :
- stockées correctement,
- protégées contre tout accès non autorisé,
- traitées avec une rigueur maximale,
- situées dans un cadre juridique clair et maîtrisé.
Les lois d’autres pays ne garantissent pas le même niveau de protection. Et en cas d’hébergement hors Suisse ? 👉 Vos données quittent votre souveraineté… et votre contrôle.
2. Le secret professionnel est incompatible avec des services étrangers
Les géants technologiques peuvent :
- analyser les données,
- entraîner leurs modèles d’IA,
- donner l’accès à des sous-traitants,
- transférer vos informations dans d'autres juridictions.
Même s’ils “respectent la confidentialité”, ils ne respectent pas le secret professionnel thérapeutique suisse.
Conséquence :
Le thérapeute devient responsable en cas de fuite, perte ou utilisation secondaire des données.
3. Un logiciel suisse = un support suisse = une compréhension réelle de votre métier
Les outils étrangers ne connaîtront jamais :
- les normes suisses (LPD, 590, RME, ASCA…),
- les assurances,
- les obligations thérapeutiques,
- la nécessité d’un cadre déontologique strict.
Un logiciel suisse est conçu pour vous, pas pour un marché global.
Avantages :
- vocabulaire adapté
- intégration du standard 590
- processus pensés pour les thérapies complémentaires
- compréhension de vos contraintes
- support dans votre langue, dans votre fuseau horaire
4. La souveraineté des données : un enjeu majeur pour la santé
Quand les données sont stockées hors du pays :
- vous ne décidez plus des règles de conservation,
- vous ne contrôlez plus l’accès réel,
- vous ne pouvez pas vérifier la sécurité,
- vous dépendez d’autres juridictions.
La santé est l’un des domaines où la souveraineté est non négociable.
Pourquoi ?
Parce qu’il s’agit :
- d’histoires de vie,
- d’émotions profondes,
- de vulnérabilités,
- de confiance.
5. Les assurances et autorités suisses préfèrent les outils suisses
Ce n’est pas encore une obligation… Mais c’est une tendance forte.
Pourquoi ? Parce que :
- les contrôles sont plus simples,
- la traçabilité est plus claire,
- la conformité est mieux encadrée,
- la stabilité juridique est garantie.
Un outil suisse réduit les risques de non-conformité — et simplifie les démarches en cas de contrôle.
Conclusion
Choisir un logiciel suisse n’est pas une option “premium” : c’est un geste de protection.
Protection :
- de vos patients,
- de votre pratique,
- de votre responsabilité légale,
- de votre éthique professionnelle,
- de votre tranquillité d’esprit.
C’est pour cela que DiagNotes a été pensé comme un outil suisse, éthique, sobre, sécurisé — un compagnon fiable pour les thérapeutes d’aujourd’hui.
👉 Envie de travailler dans un cadre 100% conforme et souverain ? Essayez DiagNotes gratuitement dès aujourd’hui.
